понедельник, 8 июня 2020 г.

Pour le RN, «Macron et Castaner lâchent la Police et la Gendarmerie»

Après les annonces de Christophe Castaner concernant les forces de l’ordre, Jordan Bardella a estimé que «Macron et Castaner lâchent la Police et la Gendarmerie», tandis que Marine Le Pen considère qu’il s’agit désormais de «l'ère du soupçon et la présomption de culpabilité».

Les annonces de Christophe Castaner, lundi après-midi, n'ont pas plu aux responsables du Rassemblement national. «Sous la pression d’une famille de délinquants notoires et de quelques excités, Macron et Castaner lâchent la Police et la Gendarmerie», s'est indigné Jordan Bardella après l'intervention du ministre de l'Intérieur. «En voyant ce pouvoir tétanisé se coucher, racailles et indigénistes qui tentent d’importer chez nous une hystérie racialiste doivent jubiler!», a poursuivi le le vice-président du Rassemblement national sur Twitter.


Dimanche sur France 3, il avait affirmé que «s’il y a des comportements critiquables, condamnables, des propos racistes qui sont tenus alors ils doivent être condamnés avec la plus grande fermeté. Mais le job du ministre de l'Intérieur c'est de soutenir ses fonctionnaires».

«Castaner met policiers et gendarmes à la merci des pires diffamations»

Marine Le Pen s'est également exprimée dans la foulée, via le réseau social : «Policiers et gendarmes pourront être suspendus sur la base du «soupçon» de «racisme» : Castaner les met à la merci des pires diffamations. C'est l'ère du soupçon et la présomption de culpabilité pour nos forces de l'ordre ! Ceci n’a plus rien à voir avec la loi !», a-t-elle écrit.


«Castaner exigeant de la police et tolérant avec les voyous… retour à la case départ pour ce socialiste », a quant à lui lancé le porte-parole du RN et député, Sébastien Chenu.


Lors d’une conférence de presse lundi, Christophe Castaner a prôné une «tolérance zéro» du racisme dans les forces de l’ordre, dont la suspension sera «systématiquement envisagée pour chaque soupçon avéré» en la matière. Le ministre a aussi annoncé l’abandon de la méthode d’interpellation policière controversée de la «prise par le cou, dite de l’étranglement» et une réforme «en profondeur des inspections du ministère de l’Intérieur».

Lire aussi :«Le racisme n’a pas sa place dans la police», rappelle Castaner

Toute reproduction interdite

Source: ParisMatch.com

Комментариев нет:

Отправить комментарий