Le marché de l’art est à nouveau rongé par une sombre histoire de trafic de biens culturels, autrement dit « une appropriation de biens culturels en violation d’une loi réglementant le transfert de propriété, l’exportation et l’importation du patrimoine culturel d’une nation ou d’un peuple », selon Vincent Négri, chercheur HDR à l’Institut des sciences sociales du politique. Récemment, à Paris, une vente aux enchères orchestrée par Coutau-Bégarie a été suspendue à la suite d’une polémique en Tunisie, à savoir des objets appartenant à Habib Djellouli – un haut dignitaire tunisien – qui serai…
Source: lepoint.fr
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