понедельник, 8 июня 2020 г.

Crise économique : cette mesure des ordonnances Macron qui refait parler d’elle

Chantage à l’emploi

J’ai souvent lu ici que la baisse de salaire est nécessaire sinon le patron licencie et ferme. C’est lui qui a investi et tout risqué, donc c’est le seul à sauver.
Ainsi, il vaut mieux qu’un salarié travaille plus et soit payé moins et n’arrive plus à couvrir. Son loyer et ses charges de famille. Il lui restera suffisamment d’argent pour consommer et remplir le carnet de commandes de ce fameux patron ?
Ce qui est sur c’est que cette crise a accentué la lutte des classes du 19ème siècle
L’ouvrier doit travailler pendant 70 heures par semaine sans être payé afin de produire de la richesse qui sera redistribuée aux actionnaires et aux patrons, les seuls à avoir pris des risques.
Cela signifie donc que «tout travail mérite salaire» et «travailler plus pour gagner plus» sont des utopies d’extrême gauche et de gauche caviar (communisme et socialisme).
Enfin, les promesses de préservation de l’emploi n’engagent que ceux qui les écoutent : belfort, continental et même PSA et Renault. Les exemples de ravages de l’IFRAP et du MEDEF abondent. En plus, quel a été le pourcentage d’augmentation des salaires ces 15 dernières années ? A part le fugitif évadé du Japon et planqué au Liban…
Le chantage à l’emploi va durer par peur des licenciements mais c’est normal, moral et légitime car il faut sauver ceux qui ont été confinés dans des résidences secondaires au soleil (MEDEF, l’IFRAP)
Par définition un employé doit accepter de travailler et être payé une misère et crever de faim ou de maladie, ou bien c’est la porte, c’est la règle de l’ultralibéralisme.

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