Que cela plaise ou non à notre ego de Sapiens, nous sommes des assemblages bipèdes de 30 000 milliards de cellules humaines, mais aussi d’innombrables bactéries et virus. Par les temps qui courent, difficile de s’attendre à ce qu’un micro-trottoir révèle une perception positive de cette cohabitation. C’est sur le caractère pathogène d’une infime partie des virus que l’épidémie – bientôt pandémie ? – de Covid-19 focalise logiquement l’attention.
Dans l’imaginaire collectif, il y a quelque chose de sournois chez les virus, à commencer par leur petitesse. Il a fallu attendre les années 1930 et…
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