« En 2009, j’ai été chargé d’aller chercher à l’aéroport le premier Tunisien atteint du H1N1 qui revenait de Dubaï », se souvient le docteur Abdelmoumen, urgentiste (re)connu pour ses engagements. « Je suis arrivé à l’aéroport de Tunis. Il n’y avait plus personne, tous les services s’étaient cachés. » Au bout de quelques minutes, le médecin trouve son patient, debout, valide, valise au pied, seul. C’était hier ou presque. Onze ans plus tard, le coronavirus suscite également plus de peurs que d’inquiétudes sanitaires.
Lire aussi Nouveau coronavirus : l’Algérie touchée
Lire aussi Coronavirus…
Lire des articles en Français lepoint.fr
Комментариев нет:
Отправить комментарий