«Ne circulent que les intendants, les syndics, les soldats de la garde. » Ou : « chacun est arrimé à sa place, bougeant le moins possible, voyageant peu. » Ou : « un espace clos, découpé, surveillé en tous ses points, où les individus sont insérés en une place fixe et où les moindres mouvements sont contrôlés. » Ou : une société « où chaque individu est constamment repéré, examiné et distribué entre les vivants, les malades et les morts ». Ou encore : « derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions ». Ces lignes, décrivant une société au « confinement …
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