среда, 26 февраля 2020 г.

Sarah Ferguson veut elle aussi sa part du gâteau royal

Le cauchemar continue pour Elizabeth II. Alors que la souveraine tente d’endiguer le business des Sussex, une autre menace déboule : la bouillonnante Sarah Ferguson fourbit ses armes pour se refaire une santé financière sur le dos des Windsor… L’ex-femme du prince Andrew a l’intention de lancer sa propre marque, « Duchess Inc. », qui porterait sur du linge de maison, des produits de beauté, savons et bougies parfumées, de la vaisselle, des bijoux à partir de 60 livres sterling, et des spécialités anglaises, notamment des produits bio issus de la « Fergie’s farm », même si la duchesse d’York ne possède aucun domaine de ce type…

Selon le Daily Mail, qui a révélé le pot aux roses, Fergie s’est personnellement impliquée dans cette collection qui n’en serait qu’au stade de projet. Pour lancer son business, elle serait à la recherche d’investisseurs capables d’apporter au moins 10 millions de livres sur la table, ce qui est loin d’être gagné… N’empêche : si le projet aboutit, il viendrait directement concurrencer le marketing juteux des Windsor, qui commercialisent le même type de produits sous licence – vaisselle, biscuits, bijoux, produits de beauté – dans les boutiques des palais et sur Internet. Sans oublier Harry et Meghan qui souhaitent également développer leur business sur ce terrain, même si la reine leur a interdit d’utiliser la marque « Sussex Royal ». Au final, il risque d’y avoir confusion dans les rayons et surtout le sentiment d’une famille prête à tout pour monétiser une couronne sur un bout de savon…

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Scandales et faillites

Le retour de Sarah Ferguson aux affaires ne peut que faire frémir la souveraine. La duchesse a longtemps été la mal aimée du royaume et son nom a toujours été associé à des scandales divers et variées, notamment sur le terrain financier. Après son divorce avec Andrew, en 1996, elle est parvenue à monnayer son aura aux États-Unis en sortant ses mémoires, qui lui rapportent deux millions de dollars, tout en décrochant un gros contrat avec la marque de régime Weight Watchers. Elle gagne sa vie dans l’édition, la télévision, tout en monnayant sa participation à des soirées de prestige. Mais en 2010, c’est la faillite, elle doit deux millions de livres, une nouvelle qui accable les Windsor. Le prince Andrew, resté proche de son ex, mettra la main à la poche pour l’aider à remonter la pente ou demandera à son réseau, pas toujours très net, de la soutenir à l’occasion – elle profitera ainsi des largesses du financier Jeffrey Epstein, accusé d’agressions sexuelles, pour renflouer ses comptes.

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Sans cesse à court d’argent, Sarah Ferguson est perçue par la famille comme une bombe à retardement. Il y a dix ans, criblée de dettes, elle se faisait piéger par un tabloïd en acceptant sans complexe de présenter des hommes d’affaires à son ex-mari contre de fortes commissions (500 000 livres en l’occurrence). « Vous récupérerez dix fois plus », aurait-elle déclaré lors de l’entretien, donnant l’image d’une tenancière prête à tout pour remplir son tiroir-caisse. L’été dernier, son nom faisait encore la une des médias quand on découvrait qu’elle touchait plus de 70 000 livres par an d’un millionnaire de Hongkong pour lui fournir contacts et conseils dans le cadre d’une société d’investissement cinématographique. On comprend mieux la volonté du prince Charles de resserrer l’image royale sur lui-même et les Cambridge, noyau dur du système, histoire d’éviter les éclaboussures…

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