воскресенье, 19 июля 2020 г.

La Baule et Paris Match célèbrent l’Océan

A La Baule, le maire Frank Louvrier a inauguré la première manifestation culturelle de son mandat: un parcours photographique à découvrir dans la ville, du 18 juillet au 2 novembre 2020 composé de 60 photos autour du thème de l’océan, prises par les photographes de Paris Match. 

« C'est avec beaucoup d'émotion et de plaisir » que Franck Louvrier, maire nouvellement élu de La Baule, a inauguré la première manifestation culturelle de son mandat : « LA BAULE PASSION OCEAN ». Une exposition gratuite, de 60 photographies, grands formats, mises en scène à l'air libre entre le parvis de la gare, le bois des Aulnes et le front de mer. « Paris Match nous a ouvert les portes de ses archives. C'est extraordinaire, poursuit le maire. Ce sont des milliers de clichés qui ont marqué la vie des Français. » L'homme sait de quoi il parle. Il a piloté la communication du ministre puis du Président de la République, Nicolas Sarkozy, pendant des années avant de devenir lui-même homme politique. Au-delà de leur valeur de document, les photos sélectionnées ont pour vocation d'éblouir, d'émouvoir et d'interpeler autour du thème de l'Océan.

Pour des générations de vacanciers, la Baule est une madeleine de Proust. À sa simple évocation, ressurgissent les souvenirs des premiers châteaux de sable, des balbutiements en Optimist ou en planche à voile. Les copains du club de plage sont souvent ceux de toute une vie. Et la mer est le personnage central qui les lie. Pour certains, elle est un peu comme un feu de cheminée qu'il suffit d'admirer pour se sentir apaisé. D'autres ont besoin de s'y confronter, pour tenter, avec courage et respect, de la dompter. C'est cette histoire d'amour que l'exposition a pour ambition d'évoquer.

Florence Arthaud, en mer, le13 avril 1981

Florence Arthaud, en mer, le13 avril 1981 © Patrick Jarnoux/Paris Match

Depuis 70 ans, Paris Match raconte la passion de la mer à travers les exploits d'Éric Tabarly, la détresse d'un ours polaire sur la banquise ou la colère d'un surfeur face à un continent de déchets. Puiser dans ses trésors d'archives devient une évidence. Tout comme articuler le parcours photographique dans la ville autour de thématiques chers aux Baulois. D'abord, terrain de jeu pour professionnels et amateurs, La Baule a vu naitre de grands marins et s'accomplir de magnifiques champions : des frères Peyron à Yves Pajot, skippeurs, de Julien Bontemps, véliplanchiste, à Vincent Tiger, kite-surfeur…

Un surfeur dans le creux de la vague.

Un surfeur dans le creux de la vague. © Mairie de la Baule

Puis, comme la photo peut être militante, « LA BAULE PASSION OCEAN », se veut un événement culturel autant qu'un coup de projecteur sur un combat fondamental. Aujourd'hui, comme toutes les villes côtières de la planète, cette cité se trouve face à un défi de taille : celui de sauvegarder son patrimoine. Pour que La Baule reste fidèle à elle-même, pour que la magie de la madeleine de Proust opère de génération en génération, ce combat doit être celui de tous. « Pour que cette baie reste la plus belle plage d'Europe, il est urgent et vital de préserver le joyau qu'elle incarne : l'Océan. Et cette exposition est une contribution à l'action », conclut Franck Louvrier.

La Baule Passion Océan, un parcours photographique à découvrir dans la ville, du 18 juillet au 2 novembre 2020

Le Peacoq, bateau idéal pour un baptême de l'air

Le Peacoq de Patrick Billot

Le Peacoq de Patrick Billot © Armand Hubler

Patrick Billot est fier. La photo de son Peacoq s'affiche en bonne place dans l'exposition « LA BAULE PASSION OCEAN », un parcours photographique, issu des archives de Paris Match, dans les rues de La Baule. Peacoq : un nom étrange pour une innovation simple. Voyant l'arrivée des foils dans le milieu de la voile de compétition, Patrick Billot, marin amateur et passionné, a voulu que cette révolution ne soit plus réservée qu'à une élite. « Tout part d'une frustration personnelle. En découvrant les bateaux volants grâce aux foils lors de l'America's cup en 2013, j'ai eu envie de ressentir les sensations que cela pouvait procurer », explique-t-il. Alors, il gamberge. Et en 2018, lors d'un voyage en train, il prend la décision de quitter son emploi dans l'industrie métallurgique pour créer son entreprise, Foily, et démocratiser la pratique du foil dans le milieu de la voile légère. Pour cela, il s'associe à l'architecte Raphaël Censier qui va dessiner le dériveur imaginé par Patrick. Ce Peacoq, d'une longueur de 4,19 mètres, est aussi muni d'une dérive centrale rotative. Les foils en aluminium sont entièrement rétractables. Le tout rendant possible la navigation « classique ».

Ce bateau est à destination des particuliers mais aussi et surtout des clubs de voile, pour faciliter l'apprentissage du « vol en mer ». Avec le Peacoq, on peut faire son baptême de l'air et régater en utilisant un ou deux foils selon les allures, la maîtrise de l'équipage et le vent dont on dispose. « Cette semaine, j'ai testé les réactions de 8 adolescents sur le bateau, raconte Patrick. Non seulement, ils ont su le gérer seuls mais ils se sont éclatés. Les sensations peuvent être comparées à celles que procure une planche à voile en plus grisant et partagées car en équipage. »

Pour Patrick Billot, figurer dans une exposition estampillée Paris Match est « une reconnaissance : c'est une manière pour moi, entrepreneur, d'avoir un label Paris Match. C'est une chance ». Malgré cela, le marin ne se pavane pas : « le chemin est encore long et il faudra du temps pour pouvoir dire que mon projet à contribuer au développement de la voile moderne. »

SENFA, société du groupe Chargeurs est heureux de soutenir l’évènement en offrant des masques personnalisés «Lainière Santé powered by SENFA» pour répondre aux contraintes sanitaires actuelles et sensibiliser et inciter les visiteurs à utiliser davantage de produits réutilisables dans leur quotidien. Sélectionnés pour leurs performances, ces masques barrières disposent d'une excellente respirabilité, réutilisables, lavables 20 fois et filtrent à plus de 90% les particules d’une taille supérieure à 3 μm. Respectant les spécifications AFNOR SPEC S76-001 : 2020 et certifié par la DGA (Ministère des armées), ces masques recouvrent intégralement le nez et la bouche pour un confort et une protection optimale pendant 4 heures. Site web : www.lainiere-sante.com

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Source: ParisMatch.com

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