Le crâne dégarni, la moustache grisonnante, il ne parle pas et demeure impassible. Anwar Raslan, 57 ans, est un ancien colonel syrien de la Sûreté de l’État, jugé devant la Haute Cour de Coblence pour crimes contre l’humanité. Un procès inédit. Le premier au monde où défileront les cruautés du régime de Bachar el-Assad. L’homme, jadis responsable d’un centre de détention à Damas, est accusé d’actes de torture sur 4 000 prisonniers entre avril 2011 et septembre 2012, lors des manifestations de la révolution syrienne.
À ses côtés, un second suspect, Eyad al-Gharib, 43 ans, le visage caché sous…
Source: lepoint.fr
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