« Personnellement, je préfère un dictateur libéral à un gouvernement démocratique sans libéralisme », lâchait, en 1981, l’économiste Friedrich von Hayek au quotidien chilien El Mercurio. Son confrère Milton Friedman évoqua lui un « miracle chilien » à propos de la dynamique acquise par l’économie du pays vis-à-vis du reste de l’Amérique latine à partir de la présidence d’Augusto Pinochet (1974-1990). En 2010, un troisième Prix Nobel d’économie, Gary Becker, pointait lui que « des dirigeants visionnaires peuvent accomplir plus dans le cadre de gouvernements autocratiques que de démocraties p…
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