Autant décevoir tout de suite tous ceux qui ont pu se précipiter sur le coronavirus pour en faire le symbole – et la preuve – d’une mondialisation nocive et mortifère, pour ne pas dire mortelle. Les épidémies sont de tout temps. Elles n’ont pas besoin d’avions pour se répandre, elles n’ont besoin pour tuer que d’être et de se transmettre par l’eau, les animaux ou les hommes.
La peste noire, le choléra, la variole, la grippe, espagnole ou pas, ont été de grandes faucheuses, sévissant pendant plusieurs années et, pour certaines, toujours vivaces, à côté desquelles les guerres aussi meurtrières…
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